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Assignment Commentary:

Tinya

Mouna Harifi

2002

In class, we read a short story about nightmare, just to make it short. The teacher wanted us to continue the story. Sorry to those who don't speak french. Please use your imagination (this paper isn't corrected yet).

Le cauchemar

La chambre se remplit de la musique lente et gracieuse. Je dansais avec une charmante jeune femme. Sa peau douce était laiteuse et chaude à la touche. Son visage était d'une forme parfaite et ses joues étaient teintées d'un rose clair.

Nous nous balançames autour de la chambre au rythme de la musique. Nous dansâmes jusqu'au point que nous étions ivres de plaisir. On rit; on s'écria; comme on était fou! Je m'amusai et le temps semblait se hâter. Je tournai la tête pour regarder la pendule et j'aperçus que l'aiguille tourna rapidement et je vis seulement une tache floue.

Je retournai la tête vers la femme, mais elle n'était plus ni jolie ni jeune! Dans mes bras, je vit une vieille femme. Lentement, sous mes yeux, elle vieillissait plus, et elle se serra très fort contre mon corps pour ne pas s'écrouler au sol. J'essayai de me retirer d'elle, mais elle me serra plus fort. Mes yeux se fixèrent sur son visage impuissant qui devint laid et décrépit. En essayant d'enlever ses bras de mon corps, je sentis ses mains faibles qui, avec de grands efforts, tenaient à s'accrocher à moi. Ses ongles me rentrèrent dans les côtes. Mon coeur se battait sans contrôle. Je criai de plus en plus fort, mais je ne pus pas m'entendre car ma voix était innondée par la musique forte. Je regardai autour de la chambre. Je vis des corps faibles qui dansaient à petits pas. Je ne sus quoi penser. J'étais troublé par ce que je voyais. Je voulais sortir tout de suite de ce cauchemar, je me débarrassai donc des bras de la vieille femme, mais ils s'éffritèrent tout à coup dans mes mains. Je jetai un coup d'oeil une fois de plus autour de la chambre, mais cette fois ci, le sol était recouvert des cadavres pourris et la chambre puait la mort.

Persuadé que j'avais été le jouet de quelque illusion diabolique, une telle frayeur s'empara de moi, que je m'évanouis.